Dernier ajout : 3 juillet 2007.
Le mildiou n’ayant pu être enrayé par l’action que nous avions menée début août, lors de laquelle nous avions soigneusement coupé toutes les feuilles touchées par la maladie, nous avons du "brûler" chimiquement (à défaut d’avoir le matériel "bio" nécessaire) les fanes de toutes nos pommes de terres, afin de préserver les tubercules. Trois semaines plus tard, nous avons procédé à l’arrachage des pommes de terre, dont la croissance avait été arrêtée par le défanage. Ces trois semaines sous terre sans végétation ont permis aux tubercules de renforcer leur peau, ce qui permettra une meilleure conservation.
3,1 tonnes ont été récoltées par environ 90 personnes (la quantité espérée est donc atteinte). Nous avons procédé à une première distribution des parts, et chacun est reparti avec son panier de pommes de terre "du Plateau"...
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